K comme Katharina

Elles s’appelaient Katharina

Elles s’appelaient Katharina…

Qu’elles sont nombreuses mes Katharina16 femmes parmi mes sosas portent ce nom entre l’an 1500 et l’an 2000. Pour la variante en C, Catharina, elles sont 24.

Je n’avais pas abordé la déclinaison française sur la lettre C, voulant mettre à l’honneur, ma « Hirtmeï Karlin » (on notera le K… pour « Carolina »…) mais ce n’est pas moins de 65 Catherine qui se trouvent parmi mes sosas femmes.

Qui sont mes 16 Katharina ?

  • 13 d’entre elles viennent de ma branche paternelle : 4 d’Alsace et 9 d’Allemagne.
  • 1 vient de ma branche maternelle au Luxembourg.
  • 2 Katharina qui n’ont pas de précisions

De Bischwiller :

  • Katharina Dorothea BAER (1710-1771), sosa 637
  • Katharina BIERLE (1680-1758), sosa 301
  • Anna Katharina KRAUSS (1727-1803), sosa 141
  • Katharina KÜNTZEL (1786-1858), sosa 79

De Strasbourg et environs de Wasselonne :

  • Katharina WEBER (?-<1693), sosa 2737

De Birkenfeld (Rhénanie-Palatinat) :

De Butzbach (Hesse) – le berceau de mon patronyme

  • Anna Katharina BECKER (1637-1679), sosa 1025
  • Margaretha Katharina LOEBER (<1543-1608), sosa 8209

De Dornstetten :

  • Eva Katharina KLAEGER (1748-?), sosa 131

Freudenstadt (Baden-Wurttemberg) :

  • Ursula Katharina BOSCH (1677-1734), sosa 543
  • Katharina Barbara MÖHRLEN (1714-?), sosa 259
  • Maria Katharina HABISRITTINGER (1737-1784), sosa 135
  • Katharina ? (environ 1648-?), sosa 1039

De Horath (Rhénanie-Palatinat) :

  • Maria Katharina PETRI (<1703-1723), sosa 963

De Merschied (Luxembourg) :

  • Anna Maria Katharina SCHAEFFER (1723-1778), sosa 481.
  • Katharina BISCHOFF (?-1541), sosa 74617, épouse en troisièmes noces Johann RUDIN, bourgeois de Bâle. Elle est la fille de Andreas BISCHOFF, marchand décédé à Bâle vers 1482 et petite fille du peintre Hans TIEFFENTHAL1 dit BISCHOFF.

Pour la petite histoire, si le nom est très ressemblant et que les deux familles font partie des bourgeois de Bâle, la momie de Bâle, Anna Catharina BISCHOFF, ne descend pas de la même famille BISCHOFF, originaire aux environs de Wissembourg (67).

La « momie de Bâle », Anna Catharina BISCHOFF.
  1. J’ai voulu illustrer l’article avec une peinture de Hans TIEFFENTHAL mais il ne reste que quelques oeuvres (vitraux à la collégiale de Thann, panneaux provenant du couvent Saint Marc à Strasbourg, la Vierge/Madone aux Fraisiers, le Jardin du paradis). Il n’y a aucune certitude que ces oeuvres soient de lui. La paternité du Jardin du paradis est source de discussions depuis plus d’un siècle. Je viens de passer une heure à apprendre des choses sur la peinture alsacienne du XVème siècle. ↩︎

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *